“Pour le trio d’auteurs, le défi consistait à jouer des stéréotypes [du roman de gare] en les déjouant. Pari réussi : Terre-des-Fins est une œuvre vive qui réussit à brasser avec légèreté une matière plus riche qu’il n’y paraît. (…) Au-delà de l’intrigue, la fable réussit aussi à esquisser des questions dérangeantes sur l’art, son marché, le statut de l’artiste, sur la condition ouvrière et sur l’environnement. C’est aussi un beau récit d’émancipation féminine.”
Isabelle Rüf dans Le Temps
