“Membre de la ZAC, un studio d’écriture collective dont il faudra suivre les activités, ce trio affûté ne serait pas en bonne voie si l’on se bornait à penser que tout roman de gare n’est que superficialité. En n’empruntant à ce format déprécié et stéréotypé que son décor ferroviaire et son efficacité narrative (à peine entachée ici de quelques dévoiements sentimentalistes), ils signent au contraire un roman d’une admirable puissance d’évocation.”
Thierry Raboud dans La Liberté